Comment bien modérer son blog ?
Le 9 juillet 2015Le contenu d'un blog relève de la responsabilité de son propriétaire. Il faut ainsi modérer certains posts de la part des internautes. Toutefois, modérer ne veut pas toujours dire supprimer.
Gestion d'un commentaire négatif
Un commentaire négatif n'est autre que celui dont le propos va à l'encontre de celui de l'article. Si la courtoisie est au rendez-vous, on peut le publier tout en argumentant avec son auteur. S'il se révèle injurieux, il faut éditer la partie grossière avec la mention : « Monsieur X, votre commentaire a été édité de ses parties injurieuses ».
Modération contre les « fidèles »
Les fidèles d'un blog ont parfois tendance à trop se permettre, au point de dépasser les limites. Il faut alors éditer leur commentaire, tout en leur envoyant un email d'explication et les avertir.
Les principaux commentaires à modérer
On compte 3 types de commentaires qui doivent faire l'objet d'une modération. Il y a par exemple les commentaires « illégaux » qui se caractérisent notamment par des propos racistes, homophobes, diffamatoires... Les modérer consiste à ne pas les publier, mais à les conserver avec leurs coordonnées (date, post, email, IP de l'auteur...), puis à envoyer un e-mail à leurs auteurs pour leur signifier la suppression. On les met également en garde sur d'éventuelles procédures en cas de récidive.
On a aussi le commentaire Troll qui vient de quelqu'un qui semble être venu pour se lâcher. Publiable, si courtois, un Troll implique une réponse invitant son auteur à rester raisonnable. En cas de récidive, on édite son dernier commentaire avec la mention : « les commentaires de « X » seront dorénavant supprimés pour cause de trollisme patenté et après avertissement ». Mieux vaut aussi conserver tous les Trolls pour gérer de futures crises impliquant leurs auteurs.
Enfin, le commentaire pourri est celui en langage SMS et qui est difficile à comprendre. Il reste néanmoins publiable, mais mieux vaut envoyer un email à son auteur pour l'inviter à écrire différemment. La modération est toutefois de mise en cas de récidive.